Admin Posté(e) 23 mai 2019 Share Posté(e) 23 mai 2019 Bonsoir, Je vous écris à propos d'une poisson, je suis quant à moi balance. Il y a quelques années je vivais à l'étranger, bien implanté un bon job, une bonne situation, célibataire mais appréciant la vie. Jusqu'a un beau jour de printemps ou une charmante demoiselle, est venu déposé un CV, l'un de mes collègue qui était sur le point de quitter son job, lui expliqua le travail, la bonne ambiance qui y régnait etc... Jusqu'au moment ou j'allais proposer à ce collègue de faire une pause café cigarette, je tombe nez à nez avec cette fille, et quelque chose c'est produit, on est resté presque 30sec à ce regarder dans les yeux et on a commencé à parler comme si on se connaissait depuis toujours, j'ai donc passé ma pause avec cette inconnu à parler de nos vie, puis on se quitta en se disant à bientôt. Pendant 2 semaines, j'ai attendu qu'elle revienne. Un beau jour la voilà qui débarque toute pimpante. Immédiatement nous avons commencer à parler, après quelques instant le manager nous interrompu pour démarrer son entretien.Le lundi d'après elle commençait dans la boite! Durant ses 1ers jours de travail, elle stressait à fond et nos seules communications se résumaient à de grand sourires nié, ou des « ça va, tout se passe bien ? ». Le vendredi, le manager proposa à l'équipe de sortir, de manière à intégrer notre nouvelle recrue. Cependant, son intégration elle l'a fit à mes cotés et on passa la soirée à discuter uniquement entres nous. Après cette sortie, un collègue proposa qu'on se rende chez lui boire un dernier verre et pourquoi pas joué aux cartes. Un verre en amenant un autre, il ne restait plus que quelques heures et le soleil aller se lever. L'un des collègues lança l'idée folle de monter sur le point culminant de la ville, à 2 heures de marches, pour apprécier un lever de soleil sur la mer du nord. La petite poisson fraîchement arrivée dans la ville, trouva l'idée géniale, et à notre plus grand bonheur, les seuls motivés pour un instant romantique ce fut nous deux. Après cette bonne balade, et ce magnifique lever de soleil, direction le centre ville pour un café en terrasse et enfin aller se coucher. Le soleil chauffant notre peau, nous donna envie de se rendre au bord de la mer juste pour une petite promenade. Finalement on passa toute la journée à la plage à discuter, à ce raconter nos vies, à discuter de « comment va le monde »... à ne pas se parler, juste se regarder en se sentant bien et en confiance. Après de très long au revoir, nous nous sommes finalement quitté en début de soirée. Pour passer la soirée, à s'envoyer des textos pour se remercier mutuellement de cette merveilleuse nuit et journée passé ensemble. Quelques jours après notre relation évoluait. Notre appétit sexuel, nos discutions/débat enflammées, tout étaient très intense, un sentiment jamais ressentit auparavant. Quelques mois après on décida de quitter nos job, pour vivre une aventure décalé, du bénévolat dans une ferme bio, un retour au source, se couper du monde de la consommation, vivre en communauté, etc... Une expérience unique, autant socialement que pour son enrichissement personnel. Après, nous ne sommes pas tombés dans la meilleur famille, chacun à trouver une technique pour vivre au mieux l'expérience, elle, sourire et prenant sur soit, moi en jouant le mouton noir... Cependant, vu l'acharnement dont j'étais victime, mon morale en a pris un sacré coup et mon petit poisson fut la pour me réconforter. Une dynamique, elle protectrice avec un rôle de mère, à donc découler de cette expérience, j'y reviendrais plus tard. Nous sommes rentré en France, présentation des parents... des amis... et à la fin d'un bel l'été retour dans notre pays d'adoption. Avant de quitter ce pays au printemps, je vivais dans une famille qui était devenu comme une seconde famille, je leur loué une chambre, et ils avaient rencontraient et appréciaient le petit poisson. Ils nous proposèrent de venir s'installer chez eux le temps de se refaire une situation pour prendre notre indépendance. Deux grandes villes s'offraient à nous, la première avec une expérience de celle-ci et la deuxième bien plus dur à apprivoiser, après plusieurs proposition d'embauche plus décevante les unes que les autres, notre choix se porta sur la première ville. Succès en 15 jours ont avaient un emploi tout les deux, et 15 jours après notre appartement. La vie était un long fleuve tranquille, sortit en amoureux, voyage... J'ai eu le droit à des phrases telle que, « dire que prendre un appartement avec un garçon c'était impensable il y a quelques années, perdre mon indépendance, jamais de la vie. Et avec toi j'ai pas ce problème d'avoir peur de perdre mon indépendance » ou « aller faire mes courses avec un garçon je trouvais cela pathétique, mais avec toi c'est trop bien ». Si j'accorde autant d'importance à ces phrases, c'est qu'elle m'a toujours dit qu'elle ne me dirait jamais de grandes phrases, les « je t'aime pour la vie, tu es l'amour de ma vie,... » sonne creux pour elle, et que les actions importent beaucoup plus, emménager avec moi, et faire des choses qu'un couple fait, comme les courses,... étaient de fortes preuves d'amour. Jusqu'au jour où le boulot du petit poisson devient si insupportable, moi, mon rôle fut de l'épauler, l'écouter, et la supporter en lui disant que si ça n'allait plus dans son boulot, elle devait agir. Les mois passaient, elle ne supportait plus l'idée de faire ce genre de travail avec le niveau d'étude, le bagage culturel qu'elle avait, se sentant exploiter... Ne supportant plus ce pays. La décision fut simple, « si tu n'es plus heureuse dans ce pays, nous partons, rentrons en France, partons ailleurs !!! », l'idée fut excellente et lui redonna de l'espoir . Il fallait donc trouver un point de chute pour notre retour en France, et nous nous lancions dans des grands débats sur les points positif et négatif de certaine ville nous plaisant. Nous avons arrêtés notre choix sur la ville de Marseille. Il fallait encore tenir quelques mois, ces derniers mois devinrent si insupportable pour elle, qu'elle commença à se poser des questions, à remettre absolument tout en question, y compris notre relation. Me reprochant de devoir me protéger, de se sentir quelqu'un de particulier, d'unique à mes yeux, d'être la seule personne à qui je m'ouvrais,... Et que tout cela était trop lourd pour elle, qu'elle avait besoin de se retrouver, de se chercher, de se construire.... Se sentant perdu, ne sachant pas vraiment comment aborder ce retour au pays après tant d'années de voyages, d'expériences... et avec un diplôme très enrichissant sur le point culturel mais peu sur le marché du travail, ne pouvant ouvrir aucune porte concrète, la destinant, selon elle, à « des boulots de merdes ». A ce moment précis, j'ai compris que le jour où nous prendrions nos avions pour se rendre dans deux différents coin de la France serait la dernière fois que l'on se verrait. J'ai donc décidé, de donner le meilleur de moi-même, quitte à ne jamais la revoir une fois en France, autant vivre intensément les derniers moments et garder de bons souvenirs. Cela marchait, nos petits week-end hors de la ville, était extraordinaire, on était toujours très complice, passionnait dans nos ébats comme dans nos débats, s'écoutant parler, se comprenant... Mais au retour en ville, malgré me démenais, j'avais toujours l'impression qu'elle était pensive, et que finalement, il fallait apprécier les derniers instants de bonheur partagés. Le petit poisson, ayant rendu sa lettre de démission avant moi, finit de travailler avant moi, la situation devenait moins pesante, mais elle restait toujours pensive. Le jour du départ, à l'aéroport, nous nous sommes dis au revoir, par de grands calins, beaucoup de bisous, des larmes pour elle, de la tristesse dans ses yeux, moi affichant une mine confiante, mais effondré intérieurement. Je me disais que je ne la reverrai jamais, et me devais de faire bonne figure, juste pour paraître plus fort. Elle me fit lui promettre que l'on se donnerait des nouvelles, qu'on s’appelerait, mais qu'il fallait que l'on réfléchisse chacun de notre cotés (réfléchir à quoi ??? moi je sais ce que je veux!!!), et que l'on prenne soin de nous. Le soir même, nous étions au téléphone, se racontant notre voyage et ses péripéties, mais ne parlant pas de nos problèmes de couple. Tout les jours nous nous contactions. Passant mon temps avec mes amis, je profitais pour me vider l'esprit et me préparé à une éventuelle rupture qui tarder à venir... L'un de mes amis, à sa copine qui tire les cartes, elle me proposa de me les tirer, et elle me révela qu'il y avait beaucoup d'amour dans cette histoire, me connaissant un petit peu, je ne pris pas cela à la lettre, mais elle me dit qu'il fallait trouver le bon endroit pour créer un foyer ceci je le pris à la lettre et encore aujourd'hui, je me demande si elle avait pas vu cette échec à Marseille venir. Une amie du petit poisson nous avez proposez quelques mois plus tôt de se rejoindre dans sa maison familiale en Italie, pour passer des vacances entres amis. Elle me reparla de se projet, savoir si je voulais toujours y participer, et qu'elle avait envie que je sois a ses cotés, pour moi c'était bien plus que ça. 15 jours après le retour en France, nous nous retrouvions, et que les retrouvailles fut intense à la gare, elle me sauta au coup et pendant un long moment on resta accroché à se câliner, s'embrasser... Elle était magnifique ce jour là, je lui confia que je ne l'avais pas vu aussi resplendissante depuis longtemps, elle me retourna le compliment, en me disant qu'elle était tellement heureuse de me retrouver. Cette soirée et nuit de retrouvaille furent magistrale... et resteront dans mon esprit longtemps. Nous avons donc fais ce voyage en Italie, qui s'est bien déroulé, malgré qu'elle me reprocha de ne pas me montrer comme je suis avec elle à ses amies, et qu'elle ne comprenait pas pourquoi je ne me montrais pas sous mon vraie jour. La réponse pour moi est clair, étant timide, je ne peux pas être naturelle avec des gens que je connais si peu, il me faut du temps pour apprendre à les connaître et me montrer sous mon vrai jour. Au retour de l'Italie, il fallut établir un plan d'action pour se ré-établir une situation en France, ayant une amie vivant sur Marseille, je pris contact avec elle, savoir si elle avait entendu parler d'appartement se libérant, d'offre d'emploi... elle nous proposa de venir quelques jours chez elle, vivant dans une collocation et passant le principale de son temps chez sa petite amie, sa chambre était disponible. Nous avons donc fais plusieurs visites, mais sans grandes réussites, elle nous proposa de nous sous louer sa chambre le temps que son bail arrive a terme, c'est à dire un mois, histoire d'être sur place, de pouvoir cherché un travail et un appartement. Proposition accepté, nous voilà à Marseille, les premiers jours, nous prenions nos marques dans ce nouvel appartement, avec les colocataires, le quartier, la ville. Nous visitions, profitons des beaux jours que peux offrir le mois de septembre pour aller se baigner. Après avoir profiter, il fallut entamer les procédures de recherches de travail, pour la recherche d'appartement. Autant la recherche de travail s'annoncer dure dans cette ville, mais nous sommes tombés de très haut, devant les propriétaire, devant leur refus de louer à des gens sans statut, n'étant pas actif, ne bénéficiant pas du chômage ni même du RSA, n'étant pas étudiant... mais avec de très bon garants chacun de notre cotés, et des économies. La situation pour le logement à l'étranger était bien plus simple... Mais avec les refus, nous avions le droit à une explication sur les loyers impayés à Marseille, et que même ayant l'air de bonne foi, on ne faisait plus confiance dans cette ville. La situation fut clair, trouver une sous location pour quelques mois, l'unique chance que nous avons eu je l'ai refusé, jugeant le loyer trop cher pour devoir recommencer toute ces recherches quelques mois après. La situation c'est dégradé, elle ne se sentant pas bien dans la colocation, ni dans cette ville ou tout semblait perdu d'avance... elle se remit à douter... et au bout de 3 semaines, elle me fit la confidence que Marseille ne lui plaisait pas, que la colocation devenait trop dur, qu'elle ne se sentait pas chez elle, et qu'elle commencé à se remettre à douter sur notre histoire. En me ré-expliquant l'histoire de ses doutes sur son avenir, son esprit d'indépendance qui la poussait... et que c'était trop dur de se sentir unique à mes yeux.... On passa donc les derniers jours à profiter des calanques, et à chaque fois que l'on se retrouvait tout les deux dans un cadre différent notre complicité revenait, comme si notre relation était uniquement faite pour vivre dans un cadre extérieur à la vie réel. On se re-quitta de nouveau, dans le même déchirement que la première fois à l'aéroport, cette fois ci, j'étais confiant... mais elle avait prit une décision définitive. Nous avons continués de rester en contact, se racontant notre mal être d'un retour chez nos parents aprés tant de temps à voyager sur les routes, prit notre envol, et finalement retourner à la case départ... le manque de l'autre, le manque d'envie d'avancer en se sentant seul, plus épauler par notre moitié... une quinzaine de jours après c'était mon anniversaire, elle me demanda ce qui me ferait plaisir, je lui ai répondu, que la voir, passais un week-end à ses cotés serait le plus beau cadeau que l'on pourrait me faire. Elle me répondit qu'elle avait peur que l'on souffre, ma réponse fut, as tu envie de me voir, j'eu droit à un OUI !, alors pourquoi hésiter et penser aux conséquences ? Nous nous sommes donc retrouvé, pour deux jours, rien n'avait disparu, tout était encore là, la complicité, la compréhension, savoir écouter l'autre, anticiper les réactions... se comprendre et savoir vivre ensemble tout simplement. Ces deux jours fut beau, pour achever une relation c'était parfait, pour reprendre cette relation aussi, elle à glissait un petit « si on oubliait tout et recommencait » ma réaction fut peut-être mauvaise, plutôt que faire l'étonné, j'aurais dû lui sauter dessus et l'embrasser, mais je ne l'ai pas fait ! Les au revoir furent tristes à mourir, dans les bras de l'autre ne voulant plus se séparer, à s'embrasser comme les premiers jours, je lui ai sorti une vieille réplique que je lui sortais au tout début de notre relation quand elle me ramené au train et que je la persuadé sans grand mal à monter et venir passer la nuit chez moi... sa réaction fut d'exploser en sanglot, elle savait exactement de quoi je parlai... Elle m'appris que le retour chez elle fut l'un des moments les plus durs qu'elle a vécu... Nous avons continué de s'appeler, de se soutenir moralement dans les moments durs... et j'ai pris la décision d'avancer, de trouver un emploi saisonnier à la montagne. Elle avança également, et s'installa chez une amie à sa sœur qui avait une chambre libre et ne pouvant assumer son loyer seul. Avant de partir pour la montagne, j'ai rencontré une voyante, bien que n'y croyant pas forcément, je suis intrigué par cela. J'avais déjà rencontré cette dame, avant mon départ pour l'étranger, elle m'avait annoncer que je rencontrerai une fille, toute la description du petit poisson, et que tout irai très vite, je me demande encore ce que cela signifié, est ce le fait que notre relation à commençait sur les chapeaux de roux, l'emménagement... ou que cette relation serait éphémère mais intense. Cette fois-ci, elle m'a annoncé que dans mon emploi tout irait assez bien, mais surtout que cette relation n'était pas fini, qu'il y avait beaucoup d'amour, et que ceci ce voit rarement, mais que l'on avait besoin de temps... Je me demande si elle n'a pas voulu être gentille avec moi en me disant ça, pour ne pas que je me sente dupé en perdant 40euros en entendant la vérité. Je suis donc parti à la montagne, les premiers temps fut très difficiles et forcément, j'ai réclamé une trop forte attention de sa part, en lui reprochant qu'elle voyait quelqu'un, que c'était pour cela, qu'elle ne pouvait plus me répondre... Elle a finit par me dire, qu'elle culpabilisée énormément de mon mal être, mais que je ne me souciais pas du sien de ne pas trouver de travail, de se voir refuser des formations basique pour le motif d'être simplement trop diplomée... et qu'elle devait avancer et devoir prendre ses distances pour arrêter de souffrir. Depuis, nos contact ont étaient très faible, prendre des nouvelles par ci, par la. Jusqu'à ce que je réussisse à avoir deux jours de congés d'affilé, j'ai longuement hésité à la contacter et je l'ai fais, elle m'a volontiers proposé de venir chez elle. Nous nous sommes donc revu, pour se dire bonjour nous avons été maladroit, un vulgaire câlin qui semblait pas sincère, sans poigne, vide de sens... comme si on ne savait pas vraiment comment se dire bonjour. A ma grande surprise, elle avait cuisinée mes plats favoris, et ayant ramené des bonnes choses de haute Savoie, nous avons donc commencés à faire l'apéro, à discuter, écouter de la musique... petit à petit beaucoup de choses sont revenus... la complicité, les souvenirs... Elle travaillait le lendemain matin, et ne savais pas trop si elle allait y aller où non, enfin le moment était venu d'aller se coucher. Elle me demanda si cela me dérangerai de dormir à ses côtés (quel question !!! je suis fou d'elle !!!). Cependant sur son chevet était posé un livre dont je lui avais beaucoup parlé, une histoire d'amour sous des airs de science fiction (la mécanique du cœur) se passant à Edinbourg, là ou nous vivions, et quand elle me demandait de lui raconter une histoire pour s'endormir, c'été celle-ci que je lui racontais... « Tu lis ce livre ? C'est marrant ça ! » et elle « euh, euh, pourquoi ? », « je t'en ai souvent parlé »... J'y ai vu un signe sur le moment, mais avec le recul, simple coïncidence je pense. Nous avons passés la nuit côte à côte, sans qu'il ne se passe rien, l'alcool et la fatigue l'avait achevé. Quand le réveil à sonné et qu'elle à filer à la salle de bain, je suis aller faire le café, pour qu'on puisse le boire ensemble comme au bon vieux temps... Elle est ensuite partit travailler en me demandant de m'occuper de déplacer mon billet retour de manière à pouvoir profiter encore un peu l'un de l'autre durant l'après midi. Chose faite, je suis aller me promener dans la ville le matin, direction la librairie, et là je suis tombé sur un livre qui correspond à ses critères, j'ai donc décider de le lui offrir. Je l'ai glisser sous son oreiller. En attendant son retour et une sortit pour le déjeuner, j'ai rencontrai sa colocataire. Le repas et l'après midi, fut assez nostalgique, nous avons parlé des bons souvenirs, qui semblait encore agir sur nos émotions, nous avons retrouvé cette complicité une nouvelle fois, et c'été le moment de se quitter à nouveaux... cette fois-ci, c'était moi qui était déchiré face à elle... je lui ai écrit un long mail, une re-déclaration d'amour, durant le trajet retour, mais dans sa réponse, elle me demanda si ça avait été une bonne idée de se revoir, à savoir si je n'allais pas recommencer à souffrir. Comparé à la joie et bonheur que cela m'a apporté, comment puis-je me plaindre d'être triste quand j'ai été heureux à ses cotés pour quelques instants volés de plus. Nous ne nous sommes plus contacté depuis, j'aimerai faire le mort, attendre qu'elle revienne, mais son anniversaire approche, et je ne pense pas pouvoir ne pas lui souhaiter... Que pensez-vous de cette relation, existe-t'il un espoir d'un retour, où elle est en train de refermer ce livre ? Moi, je n'y crois plus, mais l'espoir fait vivre... alors au plus profond de moi, j'y pense, et en rêve mais je m'efforce également d'avancer, pour ne pas m'enterrer vivant. Merci à ceux qui auront le courage de lire ce pavé. Et veuillez m'excusez pour les fautes. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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