Un verseau... un vrai... ?

[Admin]

Bonsoir...

J'avais juste envie de parler de mon histoire, et de mes petites réflexions... Je ne vais essayer de ne pas trop rentrer ds les détails. Je suis balance asc verseau, j'ai fait la connaissance de mr verseau il y a quelques mois. Je ne connais pas son ascendant. On a été mis en contact par une amie commune, donc les premiers mois, surtout des échanges écrits par messagerie instantanée et commentaires via le fameux réseau social. Il a plusieurs fois proposé que l'on se rencontre, mais j'ai plusieurs fois décliné. J'ai finalement accepté au mois de mars de passer qques jours chez lui (sachant qu'il élève son p'tit garçon). Ah oui, précision : on ne vit pas tout près l'un de l'autre.
Le courant est bien passé, peut-être un peu trop pour un début... Au bout de 3 jours... ça a plus que dérapé... et il a tout de suite regretté. Le lendemain, il m'a dit : "On arrête les conneries, il vaut mieux qu'on reste amis" Vu qu'il avait vraiment l'air d'être en colère après lui, j'ai bien compris que toute argumentation était inutile. Alors j'ai accepté. Chambre à part le soir même. Je suis repartie le surlendemain. Ensuite, j'ai eu du mal à avoir une discussion "normale" pendant quelques jours. (je me sentais bloquée) Ça a finit par se décoincer, et on rediscutait de tout de rien (pas tous les jours, je précise).

Quelques semaines après, il écrit sur son mur qu'il était triste, suivi d'un "c'est la vie !" Je me dis... oh ? ben ? j'hésite à le questionner. Et là, p'tit message de sa part : "coucou, t'es là ?" et on commence à discuter. Forcément je lui demande ce qu'il se passe, et il m'explique qu'il était surtout énervé, dégoûté parce que... (je donne pas les détails) bref, c'était pas joyeux :/ Je lui ai dit que si ds la semaine ça n'allait vraiment pas, je pouvais passer. Et là direct : "Oui, j'aimerais bien. Quand est-ce que tu peux ?" ... Je me suis dis là, y'a truc... Bref, je joue celle qui ne voit rien venir... :lol: Et on convient d'un jour dans la semaine. J'arrive ce fameux soir. Dans ma tête, je m'étais dis que j'allais sûrement dormir dans la chambre de son fils comme à la fin de mon dernier séjour... Mais monsieur avait changé d'avis entre temps... Bon ok, j'ai cédé, c'est vrai, c'est pas bien... :rolleyes:
Je suis restée encore quelques jours. Mais au bout de 2 jours, il devenait distant. Alors je lui ai dit : "Je pars samedi matin". Et là il me répond : "Comme tu veux. Tu peux rester si tu veux. "(Mouais... Mais ça, ça ne veut pas dire qu'il veut que je reste....) Je suis restée sur mon idée. Le matin même de mon départ, il parlait avec son fils de la journée à venir et là, surprise... il laissait son fils à ses parents le samedi soir... En bonne balance bourrique, j'ai rien laissé paraître et pas pipé un mot. Mais ça fusait dans le cerveau ! :mad: Quand j'allais partir, il me fait deux p'tits bisous sur la bouche et me prend ses bras (mais pas trop fort) et il me dit : "Tu reviens quand tu veux." (Mouais...)
Et après... silence radio... je le voyais connecté mais j'allais pas le chercher. Sauf une fois, au bout de quelques jours, comme ça, comme si de rien était. Il me réponds comme à une copine. (là, je rage un peu...) La semaine suivante, il était en congés, je le savais, il m'en avait parlé. Mais vu comment ça se passait, je savais qu'on ne se verrait pas. Je le voyais connecté tous les soirs. Sauf le mercredi soir. Et puis le jeudi non plus. Au début je me suis dit qu'il avait du partir quelques jours. Et je m'étais décidée à laisser tomber. Et le vendredi soir, je le vois connecté, et là sur le fil d'actualité apparaît... "dur dur même si on a de la chance". Forcément, ça fait fissa dans mon cerveau. Je lui envoie un message : "Coucou ! Ben qu'est-ce qui se passe ?" et là... la réponse... "je suis au chu pour un mois environ" ...
Patatras ! Me suis sentie mal, mes tripes se sont nouées, les larmes aux yeux, la totale... :(
Du coup, je prends de ses nouvelles tous les jours ou presque. Je suis allée le voir aussi. Évidemment, il me présente comme une amie. Mais quand on est que tous les deux, c'est un peu plus que ça... Je ne sais pas où ça va. Je ne sais pas si ça ira bien loin non plus. Mais là, je crois qu'aujourd'hui, c'est pas le plus important. Je m'en fiche même d'avoir le cœur en miettes. Je veux juste qu'il aille mieux...

C'est grave docteur ??? :P

PS : désolée pour le pavé... :rolleyes: