un an que je m'accroche à ce capri...

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...et au fond de moi, je me dis qu'il en vaut la peine...un an que je me sui séparée de mon compagnon en parti pour ce capri divorcé de cet été et père d'un pti bout de 3 ans...on travaille au mm endroit, notre relation a commencé sur les chapeaux de roues, il avait des sentiment "de plus en plus forts" selon lui...puis, tout a basculé, qd au jour de l'an, il m'a pa donné de news pdt 3 jours, ou j'ai craqué, et lui a eu peur que je l'etouffe. il sortait d'une relation de 12 ans avec la mm femme, et voulait pa retomber sur une "chiante". bref, notre histoire ne touchai pa à sa fin, non, il m'a juste dit qu'on se verrait "de temps en temps"...ces temps en temps etai qq foi dans le mois...et moi je m'accroche...les vacances d'été...lui me donne pas de nouveles pdt les 3 semaines, alor que 2 jours avant de partir en vacances '(pour info on bosse aussi dans la mm boite) on a passé la nuit ensemble, bien discuté, fait l'amour...pui pa de nouvelles...à la rentrée, je le coince en lui disant que je ne voulai pa qu'il me prenne pour sa p... car moi j'avai de vrais sentiments pour lui...lui se braque en me menaçant de ne garder que des liens strictement professionnels, et en me disant qu'on etai deux à fair l'amour, qu'il m'a pa forcé...sa menace de plus se voir en dehor du taf m'a grave fait flippé, alor j'ai capitulé, j'ai accepté qu'on se voit, mai qu'en amis...lui se sentai mal de me fair souffrir, mai en mm temps, il m'avai prévenue plusieurs foi que pour lui ct tro tot, qu'il sortai d'un mariage et etai pa pret à se réengager, et qu'avec moi, il arrivait pa a tomber amoureux...et moi j'en ai toujour tro voulu, tro demandé, sans chercher à comprendre...aujourd'ui j'ai enfin compri, que desormai, il veut profiter de tous les bons moments, san le reste...légitime après 12 ans de vie commune...mai après notre discusion sur le fait qu'on ne se verrai plu qu'en ami, il est venu me voir, m'a appelé pour x ou y raison, et on a recouché ensemble...et depuis, on se voi pratiquement toutes les semaines, lui m'appel au moins une foi dans la smaine, pour me parler de tou et de rien, on se voit tou les jsour au boulot, mai personne n'est au courant de notre avanture, donc on se parle en "collegu